Le travail du dimanche en 2008
- 15 octobre 2009
- Dares Résultats N°42.1
En 2008, le travail du dimanche concerne près de 6,5 millions de salariés, soit 28 % d’entre eux.
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En 2008, le travail du dimanche concerne près de 6,5 millions de salariés, soit 28 % d’entre eux.
En 2007, 57 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,2 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement et d’épargne salariale.
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Ce rapport présente de nouvelles estimations qui reposent sur une utilisation conjointe des données des Échantillons interrégimes de retraités (EIR) 2001 et 2004 et de l’Échantillon interrégimes de cotisants (EIC).
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Le nombre global d'entreprises concernées augmente de 1,99 % et celui de leurs salariés de 2,14 %. Du fait de l'existence d'accords de groupe, le nombre d'entreprises couvertes est plus important que celui des accords.
Entre 1987 et 1989, le nombre d'établissements de 50 salariés et plus ayant au moins un délégué syndical est passé de 18 600 à 17 600, soit un recul de 5,9 %. Les salariés appartenant à ces établissements sont passés de 4 597 000 à 4 347 000, soit une baisse de 5,4 %.
À la fin de l'année 1989, 7 000 entreprises représentant 1,4 million de salariés appliquaient un accord d'intéressement. Le montant global est estimé à 7 milliards de Francs pour 1,4 million de salariés bénéficiaires. Le montant individuel moyen s'élevait à 4 930 F (+ 11 %).