Le contrat de professionnalisation en 2012
- 5 décembre 2013
- Dares Analyses N°075
156 000 nouvelles embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2012, soit une baisse de 10 % en un an après une hausse de 13 % entre 2010 et 2011.
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156 000 nouvelles embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2012, soit une baisse de 10 % en un an après une hausse de 13 % entre 2010 et 2011.
La dépense pour l'emploi, y compris les allègement généraux, s'élève à 76, 4 milliards d'euros en 2006.
La loi du 1er décembre 2008 généralisant le revenu de solidarité active (RSA) et réformant les politiques d’insertion a réorganisé l’ensemble du processus visant à orienter et à accompagner dans un parcours d’insertion les personnes bénéficiaires du RSA.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 90,8 milliards d’euros (Md€) en 2010, soit 4,7 points de PIB.
Au cours du troisième trimestre 1997, l'emploi salarié a progressé au même rythme qu'au trimestre précédent : + 32 000 emplois après + 31 000 au second trimestre (soit + 1 % en rythme annuel). L'amélioration qui s'est amorcée à l'automne 1996 se confirme mais ne s'accélère pas.
Pour la première fois depuis 1990, l'année 1996 se caractérise par une baisse des effectifs des titulaires d'un contrat aidé dans le secteur non marchand. En fin d'année, 410 000 person- nes occupent un tel emploi, soit 34 000 de moins que fin 1995.
En 1996, près de 300 000 personnes ont été embauchées dans le cadre de Contrats initiative emploi. Les employeurs dont d'abord des entreprises du secteur tertiaire (68 % des embau- ches), ainsi que de très petits établissements. Ces caractéristiques se sont renforcées en 1996.
2,9 millions de personnes bénéficiaient d'un des dispositifs spécifiques de politique d'emploi à la fin de 1996. A court terme, au sein de ces dispositifs, les retraits d'activité agissent davantage sur, le chômage que les aides à l'emploi marchand.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1995 à 291 milliards de francs, soit une baisse de 2,7 % en francs constants (0,2 % du PIB) qui prolonge celle amorcée l'année précédente.
Parmi les établissements de 10 salariés et plus qui ont embauché en 1994, 40 % ont fait appel aux dispositifs de la politique d'emploi destinés au secteur marchand. Les contrats aidés n'ont représenté en moyenne qu'une petite partie des recrutements de ces établissements : 15 %.