Enquêtes monographiques sur les "écoles de la 2e chance"
- Le 9 avril 2013
9 résultats
Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.
Dans le cadre du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, les employeurs ont pu bénéficier d’une prime de 3000 euros pour l’embauche de jeunes stagiaires en contrat à durée indéterminée, lorsque la date d’embauche était comprise entre fin avril 2009 et fin juin 2010.
À l’horizon de 8 mois, l’accompagnement par les OPP pris dans leur ensemble a augmenté significativement la proportion de jeunes occupant un CDD d’au moins 6 mois.
En 2010, 148 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 1 % en un an.
Garçons et filles se répartissent à peu près également, Leur niveau de formation et de diplôme est légèrement plus élevé que la population des demandeurs d'emploi de même âge. 46 % d'entre eux avaient déjà exercé au moins un emploi avant le stage.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier