L'accompagnement des demandeurs d'emploi : enseignements des évaluations
- 12 décembre 2013
- Document d'études N°178
L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
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L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
À la demande du comité d’évaluation de Pôle emploi, une évaluation de ces prestations d’accompagnement a été conduite, en comparaison des prestations équivalentes délivrées directement par les équipes de Pôle emploi.
Les demandeurs d’emploi suivis par les équipes CVE ont eu des propositions d’offres d’emploi plus nombreuses et en meilleure adéquation avec leurs attentes qu’en parcours « classique ».
Les motifs d’adhésion mais aussi de non-adhésion aux parcours OPP ou CVE sont peu différents. Ceux qui ont refusé d’adhérer pensaient principalement retrouver un emploi grâce à leurs relations ou avaient déjà un emploi en vue.
15 % mettent en avant le besoin d’un soutien financier et matériel visant à lever certains obstacles à la reprise d’emploi.
Entre janvier 2005, date de création du dispositif, et décembre 2008, 198 Maisons de l’emploi ont été conventionnées en France métropolitaine.
Au 2e trimestre 2008, le PIB a diminué de -0,3 %, après avoir progressé de +0,4 % au 1er trimestre 2008.
Depuis le mois de janvier 2007, l’Unédic et l’ANPE expérimentent de façon conjointe des prestations d’accompagnement renforcé des demandeurs d’emploi présentant des risques de chômage de longue durée.