Les sortants de l’Insertion par l’activité économique
- 1 décembre 2022
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
10 résultats
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
40 % des personnes sorties d’une structure d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2020 y ont suivi au moins une formation et 54 % ont bénéficié d’un accompagnement.
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Les structures du secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) sont spécialisées dans l’accueil des personnes en difficulté auxquelles elles proposent un emploi associé à un accompagnement social et professionnel personnalisé.
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
Les entreprises d’insertion (EI) et les entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI), comme les autres structures du secteur de l’insertion par l’activité économique, ont une mission d’insertion de personnes en difficulté et une nécessité de viabilité économique.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
En 2011, les embauches exonérées dans les territoires de la politique de la ville ont poursuivi leur recul : diminution de 17 % en zones franches urbaines (ZFU) et de 29 % en zones de redynamisation urbaine (ZRU).
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2005, 71 000 chômeurs ou allocataires de minima sociaux ont créé ou repris une entreprise avec l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE).