Les sortants des listes des fichiers de demandeurs d’emploi de l’ANPE
- 20 novembre 2000
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
59 résultats
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
En janvier 1999, comme en mars 1995, 38 % des jeunes de 15 à 29 ans travaillent et 9,5 % sont au chômage (pour les seuls moins de 25 ans, les proportions sont respectivement de 19,6 % et 7,5 % au début de 1999).
La transition entre l'école et l'activité professionnelle s'effectue principalement entre 16 et 25 ans : alors qu'à 15 ans, tous les jeunes sont encore scolarisés, à 26 ans, on compte en mars 1997 plus de 85 % d'actifs et moins de 5 % d'élèves ou d'étudiants.
Plus de 88 000 chômeurs ont bénéficié en 1995 du programme public d'aide à la création ou la reprise d'entreprise. Les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont aussi plus nombreux qu'en 1994.
Depuis les années soixante, le taux d'activité féminin n'a cessé de croître en France : la part des femmes dans l'emploi augmente continûment, en particulier dans le secteur public. Mais elles sont également davantage touchées par le chômage ou sous-employées.
En 1993, 226 500 personnes sont entrées en stage dans le cadre des Actions d'Insertion et de Formation (AIF). Ce nombre, quoique en diminution de 15 % par rapport à celui de 1992, reste supérieur aux niveaux de 1991 et 1990.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
En 1992, l'intensification de l'effort public de lutte contre le chômage de longue durée favorise le développement des " Actions d'insertion et de Formation " (AIF). Le nombre des entrées en stage progresse d'un tiers, 267 000 et 200 000 l'année précédente.
200 000 personnes environ ont bénéficié d'un stage " AIF " en 1991. Près des trois-quarts sont des chômeurs de longue durée ou des chômeurs " récurrents " (au moins de 12 mois de chômage au cours des 18 derniers mois) ; un sur cinq est allocataire du RMI.