Conjoncture de l’emploi et du chômage au 2e trimestre 2015
- 16 octobre 2015
- Dares Analyses N°076
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
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Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
L’activité économique a accéléré au 1er trimestre (+0,9% en variation trimestrielle, après +0,3 % au trimestre précédent). L’emploi salarié marchand non agricole a continué sa progression : +58 200 postes créés au 1er trimestre 2011, après +48 300 postes au trimestre précédent.
L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
L’activité économique a ralenti au 3e trimestre 2010 (+0,3 % en variation trimestrielle, après +0,6 % au trimestre précédent).
Fin décembre 2005, plus de 96 000 contrats de professionnalisation avaient été enregistrés par les Directions départementales du travail de l’emploi et de la formation professionnelle.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.