2001, un marché de l'emploi en demi-teinte
- 16 juillet 2002
- Dares Résultats N°30.1
L'évolution du marché du travail, au cours de l'année 2001, reflète le ralentissement économique intervenu à partir d'avril.
10 résultats
L'évolution du marché du travail, au cours de l'année 2001, reflète le ralentissement économique intervenu à partir d'avril.
Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.
Au premier trimestre 2002, le secteur de la construction enregistre une baisse de la durée hebdomadaire du travail de -1,3 %.
Des difficultés causées par l'absence de candidat pour le profil recherché ou par l'existence de fortes tensions dans la zone d'emploi de l'entreprise.
Les jeunes sont prédominants dans les embauches : ils sont plus nombreux à s'insérer sur le marché du travail et sont recherchés par les employeurs qui trouvent qu'ils s'adaptent plus ou que l'embauche de seniors ne permet pas d'équilibrer leur pyramide des âges.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
En 1998, plus de 45 000 prestataires ont exercé une activité de formation, dont 7 600 à titre principal.
Durant l’année 1999, près de 158 000 salariés ont été embauchés dans le cadre d’un contrat initiative emploi (CIE).
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
L’enquête vise à connaître de manière globale les différentes formes de flexibilité externe et interne afin d’appréhender leur logique d’utilisation par les établissements, ainsi que leur éventuelle combinaison selon les caractéristiques des fluctuations.