La mobilité sociale des descendants d’immigrés
- 5 octobre 2015
- Dares Analyses N°072
Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
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Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
Au 1er trimestre 2015, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,8 %, en hausse de 0,4 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,5 point.
Au 4e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,3 %, en hausse de 1,2 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,3 point.
Au 3e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 15,0 %.
Ces déclarations permettaient de suivre les mouvements de main-d'œuvre générés par les recrutements et les départs des établissements.
Au cours du premier trimestre 1993, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus baisse de 0,4 point et atteint 6,0 % (en données corrigées des variations saisonnières) : la baisse des recrutements s'est accélérée sur les six derniers mois.
En 1992, on estime le volume des entrées dans les établissements de 10 salariés et plus à environ 2 990 000 et celui des sorties à 3 118 000, soit une perte de 128 000 emplois qui représentent 1,2 % des effectifs de ces établissements.
Les salariés étrangers sont 738 000, soit une augmentation de 4,8 % par rapport à 1988 où ils étaient 703 000. Leur nombre demeure toutefois nettement inférieur à celui de 1985, qui s'élevait à 788 000.
Au cours du quatrième trimestre 1992, on note une baisse des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus : le taux d'entrée stable depuis le début de l'année (en données corrigées des variations saisonnières) passe en effet à 6,2 % après 6,7 % au troisième trimestre.
Au cours du troisième trimestre 1992, on observe une reprise sensible des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus. En données corrigées des variations saisonnières, le taux d'entrée passe en effet de 6,6 % au second trimestre à 6,8 % au troisième trimestre.