L'emploi intérimaire au 3e trimestre 2012
- 21 décembre 2012
- Dares Indicateurs N°098
A la fin du 3e trimestre 2012, 516 400 salariés sont intérimaires, soit un recul de 31 300 postes par rapport au trimestre précédent (-5,7 %).
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A la fin du 3e trimestre 2012, 516 400 salariés sont intérimaires, soit un recul de 31 300 postes par rapport au trimestre précédent (-5,7 %).
À la fin du 2e trimestre 2012, 548 800 salariés sont intérimaires, soit un recul de 18 900 postes par rapport au trimestre précédent (-3,3 %).
Avec 891 millions d’heures rémunérées au domicile de particuliers, l’activité du secteur des services à la personne est restée globalement stable en 2010 (+0,3 % par rapport à 2009).
À la fin du 1er trimestre 2012, 567 600 salariés sont intérimaires, un nombre quasiment stable par rapport au trimestre précédent (-700 postes, soit -0,1 %).
Avec 576 100 intérimaires en équivalent-emplois à temps plein en 2011, le volume de travail temporaire a progressé de 9,3 % par rapport à 2010.
En dépit d’un climat conjoncturel défavorable, l’activité économique en France a continué de progresser au 4e trimestre 2011 : +0,2 % en variation trimestrielle, après une hausse de +0,3 % au trimestre précédent.
À la fin du quatrième trimestre 2011, 568 900 salariés sont intérimaires, soit un recul de 21 100 postes par rapport au trimestre précédent (-3,6 %).
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Au cours du deuxième trimestre 1993, les intérimaires ont assuré un volume de travail correspondant à environ 250 000 emplois à temps complet. Autrement dit, près de 1,5 % du volume global de travail répond à des besoins très transitoires de l'activité.
Les emplois temporaires ont augmenté entre 1987 et 1992. Ils représentent 6 % de l'emploi total des établissements de plus de dix salariés contre 4,9 % en 1987. Ils concernent surtout les salariés non qualifiés.