Emploi et chômage des 15-29 ans en 2011
- 3 décembre 2012
- Dares Analyses N°090
54,8 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en 2011 : 45,5 % occupent un emploi et 9,3 % sont au chômage.
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54,8 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en 2011 : 45,5 % occupent un emploi et 9,3 % sont au chômage.
Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.
Dans le cadre du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, les employeurs ont pu bénéficier d’une prime de 3000 euros pour l’embauche de jeunes stagiaires en contrat à durée indéterminée, lorsque la date d’embauche était comprise entre fin avril 2009 et fin juin 2010.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
En 2005, 1 270 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés, après 1 250 en 2004.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Au cours de l'année 1993, 2,2 millions de personnes ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi, soit 12 % de plus qu'en 1992. Cette augmentation recouvre cependant des évolutions contrastées entre les deux semestres.
En 1993, environ 266 000 personnes sont entrées dans un dispositif d'accompagnement des restructurations. Au sein de ces dispositifs, les conventions de conversion sont l'outil principal de reclassement des salariés licenciés.