Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
Le nombre de demandes d’autorisation de licenciements et de ruptures conventionnelles des contrats de salariés protégés dans le cadre de leurs fonctions de représentation du personnel s’élève à près de 20 000 en 2014.
En 2013, 11 % des salariés âgés de 18 à 65 ans déclarent adhérer à une organisation syndicale, 30 % d’entre eux participent régulièrement aux activités de leur syndicat, alors qu’un peu plus de 50 % n’y ont jamais pris part ou très rarement.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
La C.G.T. continue de reculer, mais sensiblement moins vite. Le phénomène le plus marquant est le recul de la C.G.T.-F.O. (-1,3 %) alors que les années précédentes avaient vu une progression régulière de ce syndicat. La C.F.T.C. et la C.F.E.-C.G.C. reculent très légèrement.
43 000 personnes ont été admises en 1987 à un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée - soit inscrits à l'ANPE depuis au moins un an, soit en situation de chômage répétitif.
Depuis la mise en place du dispositif (avril 1987) jusqu'au 25 décembre 1987, 3 773 conventions ont été signées, ouvrant 15 198 places de stage. Au cours de l'année, 4 187 bénéficiaires se sont inscrits.