Conjoncture de l’emploi et du chômage au 2e trimestre 2015
- 16 octobre 2015
- Dares Analyses N°076
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
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Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
En mars 2000, plus d’un an après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), 56 % des bénéficiaires déclarent occuper un emploi et 26 % être au chômage.
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).
Mis en place en octobre 1998 dans le cadre de la loi de lutte contre les exclusions, le dispositif TRACE (TRajet d’ACcès à l’Emploi) a permis la prise en charge de près de 95 000 jeunes.
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
Malgré une activité économique ralentie par rapport au trimestre précédent, la croissance de l’emploi est demeurée vive au début de l’année 2001 : 116 000 nouveaux emplois ont été créés ce trimestre grâce aux bons résultats de chacun des grands secteurs concurrentiels, tertiaire, industrie, construction, et grâce aux effets de la politique de l’emploi.
En mars 2000, 93 000 personnes, relevant du régime de l’Allocation de Solidarité Spécifique exerçaient une activité professionnelle rémunérée et entraient donc dans le cadre du dispositif permettant le cumul de l’ASS avec un revenu d’activité.
Le dernier trimestre 2000 confirme le rythme élevé des créations d’emplois : 134 000 nouveaux postes sont comptabilisés dans les secteurs concurrentiels non agricoles.