Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2010
- 15 avril 2011
- Dares Analyses N°029
L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
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L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
Plus d’un tiers des personnes de 50 à 59 ans déclarent avoir été exposées au moins quinze ans à une pénibilité physique.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
Au cours du troisième trimestre 1997, l'emploi salarié a progressé au même rythme qu'au trimestre précédent : + 32 000 emplois après + 31 000 au second trimestre (soit + 1 % en rythme annuel). L'amélioration qui s'est amorcée à l'automne 1996 se confirme mais ne s'accélère pas.
En 1996, l'activité économique avait enregistré des à-coups conjoncturels très accusés. Depuis la fin de 1996, l'évolution du PIB marchand non agricole apparaît plus régulière. Il progresse de 1,1 % au deuxième trimestre 1997 par rapport au trimestre précédent.
La manutention manuelle de charges est une contrainte physique fréquente : elle touche près de quatre salariés et six ouvriers sur dix. Cependant, pour les deux tiers des salariés exposés, il s'agit seulement d'une tâche occasionnelle.
Le premier trimestre 1997 se situe dans le prolongement de la fin de l'année 1996, confirmant les premiers signes d'amélioration enregistrés en matière d'emploi et de chômage.
Au début de 1997, les Français restent pessimistes quant à l'avenir de l'emploi, même si leur inquiétude vis-à-vis du chômage s'est légèrement atténuée. La crainte du chômage a cependant crû cette année chez les cadres supérieurs et les professions libérales.
Plus d'un salarié sur quatre et un ouvrier sur deux, connaissent des contraintes articulaires pendant leur travail : gestes répétitifs à cadence élevée ou position forcée d'une ou plusieurs articulations.
L'essoufflement de la reprise de l'activité économique, observé au cours de l'année 1995, s'est traduit par des résultats médiocres en matière d'emploi en 1996 : en un an, les effectifs occupés diminuent d'environ 60 000 et le nombre des demandeurs d'emploi augmente de 90 000.