Conjoncture de l’emploi et du chômage au 4e trimestre 2016
- 4 mai 2017
- Dares Indicateurs N°030
Au 4e trimestre 2016, l’activité économique en France est plus dynamique avec une croissance du PIB de +0,5 %, après +0,2 % au 3e trimestre.
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Au 4e trimestre 2016, l’activité économique en France est plus dynamique avec une croissance du PIB de +0,5 %, après +0,2 % au 3e trimestre.
En 2015, 53,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en France : 43,2 % occupent un emploi et 10,1 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,9 %. 14,7 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation (part de « NEET »).
Au 3e trimestre 2016, l’activité économique en France se redresse modérément, de 0,2 % après -0,1 % au 2e trimestre.
Fin décembre 2016, en France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s’établit à 3 473 100.
Au deuxième trimestre 1990 on estime à 880.000 le nombre d'entrées et de sorties dans les établissements de 50 salariés et plus. Ces mouvements laissent un solde positif de 80.000 emplois supplémentaires.
En 1989, les établissements de 10 salariés et plus qui employaient près de 10 000 000 de personnes, ont enregistré 6 500 000 mouvements de main-d'oeuvre (non compris les mouvements provoqués par les missions d'intérim).
On estime à près de 850 000 le nombre de mouvements déclarés au cours de ce trimestre, correspondant à un solde brut d'environ 50 000 emplois.
Avec une progression de 3,7 % du PIB marchand, la croissance de l'économie française s'est poursuivie en 1989 au même rythme qu'en 1988, dans un environnement devenu résolument optimiste. La reprise de l'emploi qui s'était manifestée en 1988, s'est consolidée en 1989.
Après la pause des deux trimestres précédents où les effectifs n'avaient progressé que de 0,1 % chaque trimestre, les établissements de 50 salariés et plus créent à nouveau des emplois au quatrième trimestre 1989.
Au cours du troisième trimestre 1989, on a enregistré prés de 1 330 000 mouvements qui se répartissent en 650 000 entrées et 680 000 sorties correspondant en données brutes, à une perte de 30 000 emplois.