Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2006
- 22 mars 2007
- Dares Indicateurs N°13.5
Au 4e trimestre de 2006, la croissance du PIB est repartie à la hausse (+0,6 %), après la stagnation du trimestre précédent (0,0 %).
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Au 4e trimestre de 2006, la croissance du PIB est repartie à la hausse (+0,6 %), après la stagnation du trimestre précédent (0,0 %).
Les effectifs salariés dans les secteurs principalement marchands progressent de 0,2 % sur le quatrième trimestre 2006 et de 0,9 % sur un an.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable en dehors des mouvements saisonniers. Elle s'établit en moyenne à 39,00 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les employés et 39,13 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 39,00 heures pour l'ensemble des salariés, 39,15 heures pour les ouvriers et 38,85 heures pour les employés.
La durée hebdomadaire du travail est stable en dehors des mouvements saisonniers. Elle s'établit en moyenne à 39,01 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les employés et 39,19 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail est en hausse saisonnière par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 39,00 h pour l'ensemble des salariés ; pour les ouvriers 39,20 h et 38,85 h pour les employés, retrouvant ainsi les niveaux de juillet 1988.
La durée hebdomadaire effective du travail s’établit, début juillet 1998, à 38,79 heures pour l’ensemble des salariés, à 38,72 heures pour les non-ouvriers et à 38,90 heures pour les ouvriers.
En 1988, l'individualisation reste apparemment avantageuse pour les salariés : dans les entreprises où les hausses de salaire sont partiellement ou totalement individualisées, les salaires ont augmenté plus vite que dans celles n'ayant pratiqué que des hausses générales.
A la fin de l'année 1988, 4 600 accords d'intéressement étaient en cours d'application concernant prés d'un million de salariés. Depuis 1986, les petites entreprises ont versé sur les trois derniers exercices, les montants individuels moyens d'intéressement les plus élevés.