Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
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Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Au 1er janvier 2018, près de 2 millions de salariés des entreprises du secteur privé ont bénéficié de la revalorisation du Smic horaire, soit 11,5 % des salariés.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble du secteur privé hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,4 % au 2e trimestre 2018 et de 1,5 % sur un an.
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
Les trajectoires salariales des individus rémunérés au voisinage du Smic constituent une question centrale pour la dynamique salariale en général et pour le pilotage du salaire minimum en particulier.
Près de neuf branches professionnelles sur dix disposent, à la veille de la revalorisation du Smic, d’une grille salariale conforme au Smic en vigueur : 87 % en 2006, 93 % en 2011 et 88 % en 2016.
Environ 90 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà entendu parler de la prime pour l’emploi (PPE). Une majorité d’entre elles connaît également les grands principes de ce dispositif.
Plus de 70 % des personnes âgées de 23 à 55 ans qui percevaient, en 2005, des revenus d’activité inférieurs à 1,5 Smic net occupent un emploi en 2007.
En juillet 2007, la hausse du SMIC horaire a touché 12,9 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim.