Activité et conditions de la main-d'œuvre au 2e trimestre 2003
- 13 septembre 2003
- Dares Indicateurs N°39.2
Au deuxième trimestre 2003, la durée hebdomadaire du travail est stable dans l'industrie, la construction et le tertiaire.
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Au deuxième trimestre 2003, la durée hebdomadaire du travail est stable dans l'industrie, la construction et le tertiaire.
La manutention manuelle de charges est une contrainte physique fréquente : elle touche près de quatre salariés et six ouvriers sur dix. Cependant, pour les deux tiers des salariés exposés, il s'agit seulement d'une tâche occasionnelle.
En 1996, les entreprises, notamment les PME, ont mois souvent augmenté leurs salariés, et les augmentations accordées ont généralement été plus faibles qu'en 1995.
En juillet 1997, les augmentations accordées (hors revalorisation du SMIC) sont nettement plus élevées qu'en juin. La proportion d'ouvriers augmentés est également supérieure. Les salaires continuent à évoluer plus rapidement que les prix.
En octobre 1995, un salarié d'un petit établissement, de un à dix salariés, gagne en moyenne 10 780 francs en rémunération brute, soit 2,5 % de plus qu'en octobre 1994 (2,8 % pour les ouvriers, 1,9 % pour les cadres).
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.
Fin 1993, 15 000 entreprises employant 4,5 millions de salariés avaient un accord de participation. En 1994, six sur dix ont pu effectivement dégager des sommes au titre de l'exercice comptable 1993.