Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2010
- 6 octobre 2010
- Dares Analyses N°066
L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
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L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 83,8 % des salariés travaillent à temps complet au deuxième trimestre 2010.
En 2008, dans le secteur privé et semi public, la rémunération brute mensuelle moyenne d’un salarié à temps complet s’est élevée à 2 753 euros (+3,4 % par rapport à 2007) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 069 euros (+3,6 %).
En avril 1997, le gain moyen mensuel brut d'un salarié travaillant sur la base d'un équivalent temps plein, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 950 F. Il est de 11 720 F dans l'industrie (y compris la construction) et de 12 130 F dans le tertiaire.
L'année 1996 a vu un recul des entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l'emploi : moins de 2,3 millions de personnes ont bénéficié d'une de ces mesures, contre 2,4 millions en 1995.
La durée hebdomadaire du travail reste stable par rapport au début du deuxième trimestre 1997. Elle s'établit, en moyenne, à 38,89 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,81 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.
En 1996, les entreprises, notamment les PME, ont mois souvent augmenté leurs salariés, et les augmentations accordées ont généralement été plus faibles qu'en 1995.
En 1996, 172 000 personnes sont entrées dans l'un des dispositifs publics d'accompagne- ment des restructurations, soit une progression de 12 % sur un an. Cette augmentation contraste nettement avec les évolutions observées avec les années précédente.
En juillet 1997, les augmentations accordées (hors revalorisation du SMIC) sont nettement plus élevées qu'en juin. La proportion d'ouvriers augmentés est également supérieure. Les salaires continuent à évoluer plus rapidement que les prix.