L'emploi intérimaire en hausse au 4e trimestre 2014
- 27 mars 2015
- Dares Indicateurs N°024
À la fin du 4e trimestre 2014, 542 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+4,7 %).
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À la fin du 4e trimestre 2014, 542 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+4,7 %).
En 2013, 60 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) de France métropolitaine ont été recrutés ou renouvelés en contrat unique d’insertion (CUI) ou en emploi d’avenir. Ils représentent 12,2 % des personnes ayant signé un contrat aidé, comme en 2012.
À la fin du 4e trimestre 2013, 545 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport au 3e trimestre (+4,6 %, après +0,6 % au trimestre précédent).
En 2012, en France métropolitaine, 55 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) ont été embauchés en contrat unique d’insertion (CUI) et en emploi d’avenir, représentant 12,1 % du total des entrants en contrats aidés.
En 2012, 498 000 conventions de contrats aidés ont été signées dont 446 000 dans le secteur non marchand et 52 000 dans le secteur marchand.
À la fin du quatrième trimestre 2009, 493 600 salariés sont intérimaires, soit +23 500 de plus qu’au trimestre précédent (+5,0 %).
En 2008, 358 000 contrats d’accompagnement dans l’emploi (CAE), contrats d’avenir (CAV), contrats initiative emploi (CIE) ou contrats insertion – revenu minimum d’activité (CI-RMA) ont été signés.
En juin 2009, près de 10 % des salariés des TPE sont en contrat aidé, contre plus de 20 % dix ans auparavant.
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Les salariés en contrat court, c’est-à-dire en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, sont préoccupés par la précarité de leur emploi, et notamment par le risque de se retrouver au chômage.