Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2005
- 28 octobre 2005
- Dares Indicateurs N°43.2
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
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La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
Entre 1990 et 2002, la part des femmes dans les entrées en mesures est restée relativement stable, oscillant d’environ deux points autour de la parité.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
Entre le 31 décembre 2003 et le 31 décembre 2004, l’emploi salarié augmente de 17 000 postes (+0,1 %).
En 2003, 620 millions d’heures ont été travaillées pour le compte de particuliers, soit une progression de 4,8 % par rapport à 2002.
Au 4e trimestre 2004, la croissance reprend son cours (+0,8 %) après sa faiblesse du trimestre précédent.
En 1996, l'activité économique avait enregistré des à-coups conjoncturels très accusés. Depuis la fin de 1996, l'évolution du PIB marchand non agricole apparaît plus régulière. Il progresse de 1,1 % au deuxième trimestre 1997 par rapport au trimestre précédent.
Le solde des créations / suppressions d'emplois est positif au quatrième trimestre 1996 : + 12 000 emplois. On le doit essentiellement à la bonne tenue du tertiaire, qui crée 45 000 emplois et à l'amélioration relative dans l'industrie.
L'année 1996 est marquée par une conjoncture très fluctuante tant au niveau de la croissance du PIB qu'au niveau de l'emploi.