Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2005
- 28 octobre 2005
- Dares Indicateurs N°43.2
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
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La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
Entre le 31 décembre 2003 et le 31 décembre 2004, l’emploi salarié augmente de 17 000 postes (+0,1 %).
En 2003, 620 millions d’heures ont été travaillées pour le compte de particuliers, soit une progression de 4,8 % par rapport à 2002.
Au 4e trimestre 2004, la croissance reprend son cours (+0,8 %) après sa faiblesse du trimestre précédent.
Le travail non salarié rassemble en France, en 1994, 2,6 millions de personnes (travailleurs indépendantes et employeurs), dont 0,6 millions dans le secteur agricole.
En février 1995, les ouvriers et les employés sont plus nombreux qu'en janvier à avoir bénéficié d'une hausse de salaire. Ils sont également plus nombreux à avoir reçu une augmentation que les deux années précédentes.
L'emploi salarié, au cours du quatrième trimestre 1994, a connu une croissance de 0,3 %. Cette croissance confirme l'année 1994 comme une année de reprise, caractérisée par la création de 222 500 emplois salariés dans les secteurs marchands non agricole.