Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2005
- 28 octobre 2005
- Dares Indicateurs N°43.2
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
13 résultats
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.
Les adultes qui accèdent à un contrat ou un stage aidé ont au départ un faible niveau de vie et un risque de pauvreté élevé.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
Entre le 31 décembre 2003 et le 31 décembre 2004, l’emploi salarié augmente de 17 000 postes (+0,1 %).
En 2003, 620 millions d’heures ont été travaillées pour le compte de particuliers, soit une progression de 4,8 % par rapport à 2002.
Au 4e trimestre 2004, la croissance reprend son cours (+0,8 %) après sa faiblesse du trimestre précédent.
Dix-huit mois après leur entrée en contrat emploi-solidarité ou en stage d'insertion et de formation à l'emploi, les situations des bénéficiaires depuis leur retour sur le marché du travail reflètent des trajectoires qui s'inscrivent dans la continuité des parcours antérieurs.
L'année 1996 a vu un recul des entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l'emploi : moins de 2,3 millions de personnes ont bénéficié d'une de ces mesures, contre 2,4 millions en 1995.