Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2006, dans les entreprises du secteur concurrentiel, un salarié sur six perçoit un bas salaire, c’est-à-dire un salaire brut mensuel inférieur aux deux tiers du salaire médian.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
En avril 1997, les ouvriers et les employés ont été aussi nombreux qu'en mars à bénéficier d'une hausse de leur salaire de base. L'augmentation moyenne accordée est un peu plus importante pour les employés, équivalente à celle de mars pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail est en légère baisse par rapport au début du premier trimestre 1997. Elle s'établit, en moyenne, à 38,88 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,81 heures pour les non-ouvriers et à 38,98 heures pour les ouvriers.
En octobre 1996, le gain brut moyen d'un salarié s'élève à 11 860 F par mois, contre 11 510 F en octobre 1995, pour un travail à temps complet, primes non mensuelles exclues. Il est de 11 570 F dans l'industrie (y compris la construction) et de 12 100 F dans le tertiaire.