Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2006, dans les entreprises du secteur concurrentiel, un salarié sur six perçoit un bas salaire, c’est-à-dire un salaire brut mensuel inférieur aux deux tiers du salaire médian.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
En 1996, les augmentations accordées sont en moyenne plus fortes qu'en mars ; elles sont également supérieures à celles d'avril 1995 et 1994. Par contre, les ouvriers et les employés ont été moins nombreux à bénéficier d'une hausse de leur salaire de base.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au début du premier trimestre 1996; elle s'établit à 38,90 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 38,98 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire du travail est en nette baisse par rapport au début du quatrième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,91 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 38,99 heures pour les ouvriers.
Pour un ménage dont l'un des membres perd son emploi, la perte de revenu est souvent lourde : l'indemnisation du chômage s'ajoutant à d'éventuelles prestations familiales, aides au logement et sociales, ne compense que partiellement et momentanément la disparition du salaire.