Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2006, dans les entreprises du secteur concurrentiel, un salarié sur six perçoit un bas salaire, c’est-à-dire un salaire brut mensuel inférieur aux deux tiers du salaire médian.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
12,1% des ouvriers et 9,7 % des employés (données CVS) ont bénéficié d'une augmentation de leur salaire de base en avril 1994. Ces proportions sont plus élevées qu'en mars, et, pour les ouvriers, le niveau atteint est comparable à celui d'avril 1993.
En octobre 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 079 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 325 F, un employé 8 994 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 297 F et un cadre 22 162 F.
La durée hebdomadaire effective du travail est en légère hausse saisonnière par rapport au début du premier trimestre 1994 ; elle s'établit à 38,93 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.