Activité et conditions d'emploi de la main-d'œuvre au 1er trimestre 2005 - Résultats provisoires
- 1 mai 2005
- Dares Indicateurs N°20.1
L’indice du salaire horaire de base des ouvriers (SHBO) croît de 0,8 % au cours du premier trimestre 2005.
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L’indice du salaire horaire de base des ouvriers (SHBO) croît de 0,8 % au cours du premier trimestre 2005.
En 2003, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, la rémunération mensuelle brute moyenne d’un salarié à temps complet s’élevait à 2 490 euros, soit 2,6 % de plus qu’en 2002.
En 2003, 620 millions d’heures ont été travaillées pour le compte de particuliers, soit une progression de 4,8 % par rapport à 2002.
Au quatrième trimestre 2004, la durée hebdomadaire collective moyenne du travail est stable à 35,6 heures.
En 1996, les augmentations accordées sont en moyenne plus fortes qu'en mars ; elles sont également supérieures à celles d'avril 1995 et 1994. Par contre, les ouvriers et les employés ont été moins nombreux à bénéficier d'une hausse de leur salaire de base.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au début du premier trimestre 1996; elle s'établit à 38,90 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 38,98 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire du travail est en nette baisse par rapport au début du quatrième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,91 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 38,99 heures pour les ouvriers.
Pour un ménage dont l'un des membres perd son emploi, la perte de revenu est souvent lourde : l'indemnisation du chômage s'ajoutant à d'éventuelles prestations familiales, aides au logement et sociales, ne compense que partiellement et momentanément la disparition du salaire.
Les résultats présentés dans ce numéro reprennent l'ensemble des trimestres depuis avril 1993, date de l'introduction de la nomenclature d'activités NAF dans l'enquête trimestrielle ACEMO.
En février 1996, peu d'ouvriers et d'employés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. Les augmentations accordées sont inférieures à celles de janvier, mais plus fortes que celles de deux années précédentes à la même période.