Négociations collectives et grèves en 2006 dans le secteur marchand
- 27 juin 2008
- Dares Résultats N°27.3
En 2006, la moitié des entreprises de 50 salariés ou plus a ouvert une négociation collective, contre 8 % de celles de dix à 50 salariés.
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En 2006, la moitié des entreprises de 50 salariés ou plus a ouvert une négociation collective, contre 8 % de celles de dix à 50 salariés.
Du début de l’année 2005 à la fin de 2007, l’emploi a fortement progressé.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).
Au premier trimestre 2008, l’emploi salarié concurrentiel progresse de +70 700 postes (+0,4 %), après +78 000 (+0,4 %) au quatrième trimestre 2007.
Plus de 15 milliards d’euros ont été distribués par les entreprises pour l’exercice 2006 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement de l’employeur aux versements volontaires des salariés.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
En 1989, 43 200 personnes âgées de 55 à 59 ans sont entrées dans les dispositifs généraux de préretraite. Au total, 196 000 bénéficiaires de préretraites de la génération née entre 1930 et 1934 sont indemnisés en fin d'année 1989. Ce nombre a diminué de 3 % sur un an.
À la fin de l'année 1989, 7 000 entreprises représentant 1,4 million de salariés appliquaient un accord d'intéressement. Le montant global est estimé à 7 milliards de Francs pour 1,4 million de salariés bénéficiaires. Le montant individuel moyen s'élevait à 4 930 F (+ 11 %).
En 1989, on a décompté dans les entreprises à peine plus de 900 000 journées individuelles non travaillées (JINT) : 800 000 pour les conflits localisés et 104 000 pour les conflits généralisés. En volume, la conflictualité est donc en recul par rapport à l'année précédente.
Depuis quelques années, il existe deux dispositifs destinés à favoriser le reclassement des salariés dont l'emploi est supprimé, les congés de conversion et les conventions de conversion.