L’emploi intérimaire recule de 40,4 % au 1er trimestre 2020
- 11 juin 2020
- Dares Indicateurs N°018
L’emploi intérimaire enregistre un recul historique au 1er trimestre 2020.
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L’emploi intérimaire enregistre un recul historique au 1er trimestre 2020.
Fin mars 2018, 17,9 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,1 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
88 % des salariés (hors intérim) sont en contrat à durée indéterminée (CDI) et 12 % en contrat à durée déterminée (CDD) en 2017. Cette part de CDD dans l’emploi salarié a augmenté fortement entre 1982 et 2002, puis plus modérément.
Après un 4e trimestre 2017 très dynamique, l’emploi intérimaire ralentit nettement au 1er trimestre 2018 (+0,5 % soit +4 500 intérimaires, après +4,9 % au trimestre précédent).
Les trajectoires salariales des individus rémunérés au voisinage du Smic constituent une question centrale pour la dynamique salariale en général et pour le pilotage du salaire minimum en particulier.
À la fin du 1er trimestre 2013, 522 500 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 13 300 postes par rapport au trimestre précédent (+2,6 %).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 83,9 % des salariés travaillent à temps complet fin mars 2013.
Avec la contraction de l’activité économique, la dégradation de la situation du marché du travail entamée au 2nd semestre 2011 s’est poursuivie en 2012 et 51 000 emplois ont été détruits sur l’année en France métropolitaine.
D'octobre 1990 à octobre1991, le gain moyen mensuel brut a augmenté de 3,1 %. En octobre 1991, le gain mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élevait à 10 422 F.