L'insertion par l'activité économique en 2013
- 29 juin 2015
- Dares Analyses N°046
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
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En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Ce processus de tertiarisation n’est pas le canal principal du ralentissement tendanciel de productivité observé lors des trente dernières années.
En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
À la fin du premier trimestre 2009, 435 900 salariés sont intérimaires. Comme au quatrième trimestre 2008, la baisse du nombre d’intérimaires est d’une ampleur exceptionnelle : -80 800 postes au premier trimestre 2009 (soit -15,6 %), après -79 500 (-13,3 %).
Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
En 2007, le taux de rotation de la main-d’œuvre dans les établissements de 10 salariés ou plus augmente très nettement par rapport à 2006 et dépasse son précédent sommet de 2000 pour s’établir à 46 %.
Au premier trimestre 2009, l’emploi salarié concurrentiel diminue de -187 800 postes (-1,0 %), après -106 800 (-0,6 %) au quatrième trimestre 2008.