La mobilité sociale des descendants d’immigrés
- 5 octobre 2015
- Dares Analyses N°072
Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
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Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
La stratégie Europe 2020 vise à faire de l’Union européenne une économie intelligente, durable et inclusive avec des niveaux d’emploi, de productivité et de cohésion sociale élevés.
413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
En 2013, 161 000 salariés ou anciens salariés du secteur privé de 55 ans ou plus sont entrés dans un dispositif public de cessation anticipée d’activité, en forte progression par rapport à 2012 (+54 %).
Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
Selon l’enquête Trajectoires et Origines (TeO) menée en 2008, les jeunes âgés de 18 à 29 ans immigrés ou descendants d’immigrés rencontrent à la fin de leurs études plus de difficultés d’insertion professionnelle que les autres jeunes.
En France, une quarantaine d’écoles de la 2e chance (E2C), réparties sur une centaine de sites, proposent un accompagnement global pour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes sortis sans diplôme du système scolaire, les « décrocheurs ».
En 2013, 534 000 jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales, soit une augmentation de 5 % par rapport à 2012 et de 10 % par rapport à 2011.
L’accord national interprofessionnel (ANI) sur la diversité du 12 octobre 2006 est le premier texte signé par des partenaires sociaux (organisations patronales et syndicats de salariés) visant à promouvoir la diversité dans les entreprises.