Accords d’entreprise sur la GPEC : réalités et stratégies de mise en œuvre
- Le 26 novembre 2012
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En 2010, dans un contexte où l’économie française a connu une croissance fragile, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,5 milliards d’euros. Rapporté au PIB, l’effort de formation recule de 0,1 point (1,6 %, après 1,7 % en 2009).
La récession de 2008-2009 s’est accompagnée d’une forte baisse de l’emploi entre la fin du 1er trimestre 2008 et la fin du 3e trimestre 2009 (460 000 emplois détruits), que n’a que partiellement compensée l’amélioration de la situation sur le marché du travail entre la fin du 3e trimestre 2009 et la fin du 4e trimestre 2010 (+ 180 000).
Progression et féminisation des emplois les plus qualifiés ; dynamisme des métiers d’aide et de soins aux personnes.
La couverture conventionnelle globale a fortement progressé entre 1997 et 2004, passant de 93,7 % à 97,7 % des salariés du secteur concurrentiel non agricole.
Un sur deux travaille dans une petite entreprise, un sur quatre gagne plus de 1,3 SMIC horaire grâce à des compléments de salaire.
Au premier trimestre 2006, l’emploi salarié du secteur concurrentiel non agricole, augmente de +15 300 postes (+0,1 %), après +30 600 (+0,2 %) au trimestre précédent.
En avril 2006, l'emploi augmente de 0,2 % dans l'ensemble des secteurs concurrentiels.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.