L'emploi intérimaire au 1er trimestre 2013
- 25 juin 2013
- Dares Indicateurs N°039
À la fin du 1er trimestre 2013, 522 500 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 13 300 postes par rapport au trimestre précédent (+2,6 %).
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À la fin du 1er trimestre 2013, 522 500 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 13 300 postes par rapport au trimestre précédent (+2,6 %).
Avec la contraction de l’activité économique, la dégradation de la situation du marché du travail entamée au 2nd semestre 2011 s’est poursuivie en 2012 et 51 000 emplois ont été détruits sur l’année en France métropolitaine.
Au 1er trimestre 2013, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi, est en baisse (-6 % ce trimestre) après s’être maintenu au trimestre précédent.
En 2011, 487 000 jeunes ont été accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales et PAIO, soit une baisse de 5 % sur un an.
À la fin du premier trimestre 2011, 598 400 salariés sont intérimaires, soit 5 900 de plus qu’au trimestre précédent (+1,0 %).
Ce processus de tertiarisation n’est pas le canal principal du ralentissement tendanciel de productivité observé lors des trente dernières années.
Au premier trimestre 2011 l’indicateur de tension sur le marché du travail est en hausse sensible (+6 % sur le trimestre), après s’être stabilisé le trimestre précédent.
En moyenne sur l’année 2010, 47 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans occupent un emploi et près de 10 % sont au chômage. Le taux de chômage des 15-29 ans s’établit ainsi à 17 %.
L’objet de cette étude est de présenter une expertise technique fine de la qualité de l’indicateur de l’évolution mensuelle de l’emploi salarié des secteurs marchands élaboré à partir des déclarations de mouvements de main-d’œuvre (DMMO) en France métropolitaine.
Au cours du deuxième trimestre 1993, les intérimaires ont assuré un volume de travail correspondant à environ 250 000 emplois à temps complet. Autrement dit, près de 1,5 % du volume global de travail répond à des besoins très transitoires de l'activité.