La structure des rémunérations en 2006
- 31 juillet 2009
- Dares Analyses N°31.4
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, 82 % des salariés ont perçu des primes et compléments de salaires.
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En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, 82 % des salariés ont perçu des primes et compléments de salaires.
En 2007, 57 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,2 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement et d’épargne salariale.
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
D’un trimestre à l’autre, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet diminue de -11,0 % au 1er trimestre 2009 par rapport au 4ème trimestre 2008.
Ce rapport présente de nouvelles estimations qui reposent sur une utilisation conjointe des données des Échantillons interrégimes de retraités (EIR) 2001 et 2004 et de l’Échantillon interrégimes de cotisants (EIC).
Quelle que soit la configuration étudiée, le RSA induit une hausse du niveau d’emploi et de la participation sur le marché du travail.
En mai 1997, les proportions de salariés augmentés sont équivalentes à celles d'Ivry. Le rythme mensuel d'augmentation des salaires reste stable pour les employés et s'accélère légèrement pour les ouvriers.
2,9 millions de personnes bénéficiaient d'un des dispositifs spécifiques de politique d'emploi à la fin de 1996. A court terme, au sein de ces dispositifs, les retraits d'activité agissent davantage sur, le chômage que les aides à l'emploi marchand.
En juin 1997, les proportions de salariés augmentés sont inférieures à celles constatées au mois de mai. 10.4 % des ouvriers et 8,7 % des employés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base (données CVS).
En octobre 1996, dans les petits établissements, le gain mensuel moyen brut est de 10 855 francs pour un travail à temps plein, soit 8,5 % de moins que dans les établissements de 10 salariés et plus. Une femme y gagne en moyenne 17 % de moins qu'un homme.