La convention de conversion : une aide efficace pour la réinsertion ?
- 29 juillet 2000
- Dares Analyses N°30.1
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
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Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
Au premier trimestre, les créations d’emplois (+ 151 000) ont été plus vigoureuses qu’au trimestre précédent.
Que l’on analyse les modifications affectant la démographie et les comportements d’activité professionnelle, les transformations de l’emploi ou les évolutions des formes de chômage, les différents pays européens présentent des traits communs mais aussi des facteurs d’originalité.
Avec + 0,6 %, la croissance de l’emploi a été plus vigoureuse au premier trimestre 1999 qu’au trimestre précédent.
Le premier trimestre 1997 se situe dans le prolongement de la fin de l'année 1996, confirmant les premiers signes d'amélioration enregistrés en matière d'emploi et de chômage.
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.
En 1995, le nombre total de contrats aidés signés dans le secteur non marchand est de 750 000 (nouveaux contrats et avenants de reconduction en CES et en CEC). Cette évolution globale des masque des dynamiques contrastées.
En 1994, les employeurs du secteur non marchand ont signé 715 000 CES (+ 9 % par rapport à 1993) et 25 000 CEC (soit près de quatre fois le nombre de contrats signés en 1993).
Le taux de chômage est très différent suivant les professions : il varie de 1 pour les médecins à 40 % pour les ouvriers non qualifiés du travail du métal. L'évolution de l'emploi n'explique pas seule les différences du chômage d'une profession à l'autre.
En 1992, des employeurs du secteur non marchand ont signé 600 000 contrats emploi-solidarité avec des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée, soit 142 000 de plus qu'en 1991. A la fin décembre, 357 000 salariés étaient employés sur un CES.