Les contrats uniques d’insertion et les emplois d’avenir en 2014
- 3 septembre 2015
- Dares Analyses N°064
413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
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413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
Le contrat de travail à durée indéterminée (CDI) est la forme largement dominante de la relation de travail entre un employeur et un salarié. Il n’est pas forcément synonyme de stabilité de la relation d’emploi.
En 2013, 191 100 personnes se sont inscrites à Pôle emploi à la suite d’un licenciement économique, soit 7 % de plus qu’en 2012.
Six mois après la fin de leur contrat, 36 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur non marchand (CUI-CAE) et 66 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur marchand (CUI-CIE), en 2012, sont en emploi.
Après un passage en contrat aidé, la plupart des anciens bénéficiaires estiment que leur situation financière reste difficile : 60 % déclarent que « c’est juste, il faut faire attention » et seuls 24 % disent ne pas rencontrer de difficultés financières.
Fin 2011, 31 % des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et 14 % des allocataires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) travaillaient, tout en percevant un minimum social.
Au 3e trimestre 2013, l’activité économique a diminué de 0,1 % après un rebond de 0,6 % au trimestre précédent.
L’entrée en contrat aidé d’un demandeur d’emploi résulte d’une prescription par le service public de l’emploi (SPE), d’un choix du demandeur d’emploi, et d’une sélection par l’employeur.