Le travail en horaires atypiques en 2021
- 27 octobre 2022
- Dares Résultats N°52
10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
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10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
En 2021, le nombre de travailleurs détachés, hors transport routier, est en baisse de 21 % par rapport à 2019. Ces salariés exercent principalement dans la construction (45 %) et l’industrie (28 %).
Un taux de démission élevé mais pas inédit. Quel serait l’impact de l’introduction des ruptures conventionnelles sur ce taux de démission depuis 2008 ?
La Dares contribue chaque année à l'annexe au projet de loi de finances consacrée à la formation professionnelle. Ce "jaune budgétaire" présente les principales données financières et physiques relatives à la formation professionnelle continue et à l’apprentissage, quels qu’en soient les dispositifs, les financeurs et les bénéficiaires.
Lors de la crise sanitaire, le recul des CDD d’un jour ou moins a été particulièrement important dans l’hébergement-restauration (-95 % au 2e trimestre 2020 par rapport à l’avant-crise), du fait des fermetures administratives intervenues en 2020.
Au 2e trimestre 2022, en France métropolitaine, 6 615 100 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 6,1 % de plus qu’au trimestre précédent (après +1,0 % au 1er trimestre 2022).
En décembre 2021, 420 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle. Il s’agit d’une légère augmentation (+ 40 000) par rapport à novembre.
Le taux d’entrée dans les établissements de 10 salariés ou plus continue de s’accroître. Il atteint son plus haut niveau sur ces dix dernières années.
Dans un contexte général de forte baisse de l’emploi salarié, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, s’est accrue modérément en 2009, après s’être sensiblement infléchie en 2008.
En 2008, 58 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,3 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.