Demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en janvier 2016
- 24 février 2016
- Dares Indicateurs N°011
En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 0,8 % (–27 900) sur un mois.
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En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 0,8 % (–27 900) sur un mois.
Au 3e trimestre 2015, l’activité économique en France croît de 0,3 %, après une stagnation au trimestre précédent.
Avec la stabilisation de la durée des études, le niveau de diplôme atteint par les jeunes au terme de leur formation initiale a peu varié au cours des années 2000.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 861 700 en France métropolitaine fin janvier 2012. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin décembre 2011 (+0,5 %, soit +13 400). Sur un an, il croît de 6,2 %.
Cette étude analyse, à partir du panel Dads, le devenir salarial des jeunes de 18 à 25 ans entrés sur le marché du travail dans le secteur privé entre 1995 et 2002 et rémunérés parmi les plus basses rémunérations à partir du panel Dads.
Dans le cadre du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, les employeurs ont pu bénéficier d’une prime de 3000 euros pour l’embauche de jeunes stagiaires en contrat à durée indéterminée, lorsque la date d’embauche était comprise entre fin avril 2009 et fin juin 2010.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 703 200 en France métropolitaine fin janvier 2011. Ce nombre est en baisse par rapport à la fin décembre 2010 (-0,7 %, soit -19 300). Sur un an, il croît de 1,4 %.
Au cours des premiers mois de sa mise en œuvre, le contrat d’autonomie semble avoir bénéficié plutôt à un public déjà connu du service public de l’emploi et moins éloigné de l’emploi qu’initialement anticipé.
En 2009, la hausse du nombre de demandeurs d’emploi a résulté d’une forte augmentation des entrées sur les listes de Pôle emploi, conjuguée à de moindres sorties pour reprise d’emploi.
En 2000, dans un contexte de fort recul du chômage, la politique spécifique de l'emploi s'est traduite par une baisse des entrées dans les dispositifs et du nombre de leurs bénéficiaires.