Les ruptures conventionnelles individuelles en 2019
- 28 février 2020
- Dares Résultats N°012
En 2019, environ 444 000 ruptures conventionnelles individuelles ont été homologuées, soit une augmentation de 1,5 % par rapport à l’année précédente.
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En 2019, environ 444 000 ruptures conventionnelles individuelles ont été homologuées, soit une augmentation de 1,5 % par rapport à l’année précédente.
En France (hors Mayotte), le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi (catégories A, B et C) reste quasiment stable en 2018, à 5 917 000, soit -0,2 % entre les 4es trimestres 2017 et 2018.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 4e trimestre 2019 et de 1,7 % sur un an dans les sociétés de 10 salariés ou plus de l’ensemble du secteur privé (hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales).
En 2004, 330 000 chômeurs ont débuté une formation financée par l’État. Les stages d’insertion et de formation à l’emploi (SIFE) se replient, alors que les stages d’accès à l’entreprise (SAE) et les stages de l’AFPA restent stables.
Les effectifs salariés dans les secteurs concurrentiels progressent de 0,1 % sur le quatrième trimestre 2005 et de 0,4 % sur un an.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
En 2002-2003, les salariés qui ont bénéficié d’une réduction du temps de travail ont un temps de travail nettement plus flexible que les autres salariés, mais leurs horaires sont plus prévisibles.
La durée hebdomadaire effective du travail est en nette baisse pour les ouvriers par rapport au début du quatrième trimestre 1995 ; elle s'établit à 38,91 heures pour ['ensemble des salariés, à 38,88 heures pour les non-ouvriers et à 38,95 heures pour les ouvriers.