Les contraintes physiques et intensité du travail
- 18 février 2019
- Triennales
- Nationales
8 résultats
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble du secteur privé (hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 4e trimestre 2018 et de 1,6 % sur un an.
En juin 1996, les ouvriers ont été plus nombreux à recevoir une augmentation qu'en mai, tandis que la proportion d'employés augmentés diminue. Les augmentations accordées sont en moyenne plus faibles, mais celles de mai avaient été relativement élevées.
A partir du milieu des années 80, l'éventail des salaires français, qui n'avait cessé de se refermer depuis 1968, s'ouvre légèrement. Toutefois, dès le début des années 90, cet éventail se stabilise.
En 1996, les ouvriers et les employés ont été plus nombreux à bénéficier d'une hausse de leur salaire de base qu'en avril. La proportion d'employés augmentés remonte à un niveau particulièrement élevé. De plus, les augmentations accordées sont en moyenne plus fortes qu'en avril.
La durée hebdomadaire effective du travail est en nette baisse pour les ouvriers par rapport au début du quatrième trimestre 1995 ; elle s'établit à 38,91 heures pour ['ensemble des salariés, à 38,88 heures pour les non-ouvriers et à 38,95 heures pour les ouvriers.
En 1989, la pratique des augmentations individualisées continue de progresser. C'est dans les petites entreprises qu'elle se développe le plus. Celles-ci accordent à l'individualisation totale beaucoup plus de place que les firmes de taille plus importante.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 39,00 heures pour l'ensemble des salariés, 39,15 heures pour les ouvriers et 38,90 heures pour les employés.