Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en novembre 2014
- 24 décembre 2014
- Dares Indicateurs N°103
Les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon divers regroupements statistiques (catégories A, B, C, D, E).
10 résultats
Les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon divers regroupements statistiques (catégories A, B, C, D, E).
Au 3e trimestre 2014, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi en catégories A, B et C, se redresse (+2%), effaçant la baisse du trimestre précédent.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 364 100 en France métropolitaine fin avril 2014.
Fin septembre 2012, 2 631 000 personnes, soit 47 % des demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi, n’étaient pas indemnisables par l’assurance chômage.
Au 30 septembre 2012, 2 841 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi étaient indemnisables par l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), soit 4 % de plus qu’en 2011.
Dans le domaine professionnel du bâtiment et des travaux publics, les tensions sur le marché du travail sont en hausse pour le deuxième trimestre consécutif (+6,9 % par rapport au trimestre précédent).
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 630 400 en France métropolitaine fin novembre 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin octobre 2009 (+0,1 %, soit +3 100). Sur un an, il croît de 22,1 %.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 506 700 en France métropolitaine fin avril 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin mars 2009 (+2,4 %, soit +58 500). Sur un an, il croît de 24,6 %.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».