L'emploi intérimaire au 3e trimestre 2009
- 22 décembre 2009
- Dares Indicateurs N°52.1
À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
11 résultats
À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,5 % des salariés travaillent à temps complet au troisième trimestre 2009.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Dans un plan de sondage stratifié, l’allocation de Neyman est une méthode souvent utilisée pour échantillonner les enquêtes. Elle estime avec la plus grande précision possible, la moyenne d’une variable d’intérêt sur l’ensemble de la population étudiée.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,6 % sur le quatrième trimestre 2008 et de 0,7 % sur un an.
La durée hebdomadaire du travail est en légère baisse par rapport au début du troisième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,96 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,07 heures pour les ouvriers.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1994 à 286 milliards de francs, soit une très légère baisse en francs constants, contrairement aux hausse enregistrées ls quatre années antérieures.
La durée hebdomadaire effective du travail est en baisse par rapport au début du quatrième trimestre 1994; elle s'établit à 38,93 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,02 heures pour les ouvriers.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.