L'emploi intérimaire au 4e trimestre 2008
- 28 avril 2009
- Dares Indicateurs N° 18.4
À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
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À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
Au 4ème trimestre 2008, l’activité en France a fortement reculé (-1,1 %), après une légère augmentation au 3e trimestre (+0,1 %). Cette forte contraction de l’activité s’est accompagnée d’une dégradation accrue de la situation du marché du travail.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
Entre janvier 2005, date de création du dispositif, et décembre 2008, 198 Maisons de l’emploi ont été conventionnées en France métropolitaine.
Depuis 1995, la durée des études a cessé de s’allonger et la proportion de jeunes présents sur le marché du travail a peu varié.
Entre le 31 décembre 2007 et le 31 décembre 2008, l’emploi salarié du secteur concurrentiel diminue de -100 500 postes (-0,6 %), après une progression de +330 000 postes l’année précédente (+1,9 %).
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Entre juillet 2002 et décembre 2007, 441 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre d’un « Contrat jeunes en entreprises » (ou dispositif de « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprises » ), dont 92 000 pour l’année 2007.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.