Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
Les entreprises de services aux particuliers, le commerce et quelques secteurs industriels de main-d’œuvre emploient de fortes proportions de salariés rémunérés sur la base du Smic.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
Au 4ème trimestre 2008, l’activité en France a fortement reculé (-1,1 %), après une légère augmentation au 3e trimestre (+0,1 %). Cette forte contraction de l’activité s’est accompagnée d’une dégradation accrue de la situation du marché du travail.
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture, les effectifs salariés progressent de 0,6 % sur le premier trimestre 2007 et de 1,4 % sur un an.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides) .
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.