Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
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45 % des bénéficiaires d’un contrat aidé ont suivi au moins une formation (autre qu’une adaptation au poste de travail) dans les six mois qui ont suivi leur recrutement en contrat unique d’insertion ou en emploi d’avenir.
L'IReSP et l’ensemble de ses partenaires, dont la Dares, ont lancé, en 2017, un appel à projet de recherche général annuel sur la prévention.
La Dares a lancé un appel à recherches quantitatives et qualitatives (post-enquêtes) sur les pratiques de prévention face aux risques professionnels, conjointement avec la DGAFP et la Drees.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
Six grands types de parcours permettent d'illustrer la diversité des trajectoires d'emploi, de conditions de travail et de santé entre 2006 et 2010.
L’enquête visait à explorer les liens entre les problèmes de santé et les parcours professionnels et conditions de travail.
« Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé d’interrompre ou de refuser une tâche pour préserver votre santé ou votre sécurité ? » 12 % des salariés ont répondu par l’affirmative à cette question dans l’enquête Sumer 2010.
En 2011, en France métropolitaine, 52 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) ont été embauchés en contrat unique d’insertion (CUI), représentant 12,7 % du total des entrants en CUI (+2 points par rapport à 2010).