Le dialogue social dans les très petites entreprises en 2018
- 24 septembre 2020
- Dares Résultats N°030
Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
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Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
La sixième édition de l’enquête Acemo spéciale Covid, réalisée par la Dares avec l’appui de l’Insee, a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 31 août et le 11 septembre 2020, sur leur situation en août.
Après un recul historique en début d’année, l’emploi intérimaire se redresse en lien avec la reprise de l’activité après la période de confinement : +23,0 %, soit +108 100 intérimaires, après -40,4 % soit -318 600 intérimaires au trimestre précédent.
La cinquième édition de l’enquête Acemo spéciale Covid, réalisée par la Dares avec l’appui de l’Insee, a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 30 juillet et le 18 août 2020, sur leur situation en juillet.
En cas de maladie, les salariés qui signalent de mauvaises conditions de travail dans l’entreprise sont moins enclins à l’absentéisme.
En 2015, 54,9 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,6 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Au 1er trimestre 2017, l’emploi intérimaire en fin de trimestre s’inscrit en légère baisse (-1,3 %), après une forte hausse au 4e trimestre 2016 (+9,7 %).
A la fin du 2e trimestre 2014, 541 900 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 14 000 postes par rapport au trimestre précédent (+2,6 %). Cette hausse fait suite à une baisse d’ampleur comparable au 1er trimestre 2014 (-2,8 %).
En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.