Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en juillet 2009
- 26 août 2009
- Dares Indicateurs N°35.1
Les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon divers regroupements statistiques (catégories A, B, C, D, E).
10 résultats
Les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon divers regroupements statistiques (catégories A, B, C, D, E).
Avec le recul de l’activité économique, l’emploi s’est orienté à la baisse dès le deuxième trimestre 2008.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 506 700 en France métropolitaine fin avril 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin mars 2009 (+2,4 %, soit +58 500). Sur un an, il croît de 24,6 %.
En juillet 2008, la hausse du SMIC horaire a touché 14,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 190 000 personnes, hors apprentis, dont 940 000 à temps partiel.
En juillet, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 2 911 400 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une baisse de 0,5 % par rapport à juin.
L'accroissement des demandes de chômage partiel s'est concentré sur le secteur industriel qui a représenté 89 % de l'ensemble du dispositif contre 75 % en 1990.
1,6 million de salariés ont participé en 1991 à l'élection de leurs représentants aux Comités d'Entreprise, soit 63,8 % des électeurs inscrits. Les listes de non syndiqués poursuivent leur progression et recueillent presque 31 % des voix.
En avril, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 2 897 700 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 1,4 % par rapport à mars.
La tendance au ralentissement de l'économie française s'est poursuivie en 1991 avec une croissance du PIB marchand de + 0,7 % contre + 2,3 % en 1990. Le chômage de longue durée s'accroît et touche 893 000 personnes à la fin de 1991.
200 000 personnes environ ont bénéficié d'un stage " AIF " en 1991. Près des trois-quarts sont des chômeurs de longue durée ou des chômeurs " récurrents " (au moins de 12 mois de chômage au cours des 18 derniers mois) ; un sur cinq est allocataire du RMI.