Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2011
- 5 octobre 2011
- Dares Analyses N°76
L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
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L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,6 % au deuxième trimestre 2011 et de 2,2 % sur un an.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 1,0 % au premier trimestre 2011 et de 2,0 % sur un an.
L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de +0,4 % au deuxième trimestre 2010 et de +1,9 % sur un an.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de +0,7 % au premier trimestre 2010 et de +1,8 % sur un an.
En avril 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 10 996 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 176 F, un employé 8 874 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 122 F et un cadre 22 174 F.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
En juillet 1993, 10,5 % des ouvriers ont reçu une augmentation de salaire (données CVS) marquant ainsi un arrêt du redressement constaté depuis le mois d'avril.
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du deuxième trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.