Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2011
- 5 octobre 2011
- Dares Analyses N°76
L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
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L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
Horaires variables, travail de nuit, travail le dimanche, polyvalence, risque d'agression verbale ou physique de la part du public... découvrez les expositions aux risques professionnels des salariés en France.
Au 2e trimestre de 2006, le PIB accélère nettement : +1,2 %, après +0,4 % au 1er trimestre. Les créations d’emplois salariés prennent de l’ampleur et s’élèvent à +54 000 dans le secteur marchand non-agricole, après +28 000 au trimestre précédent.
En août 2006, l'emploi augmente de 0,2 % (hors intérim) dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
À la fin du deuxième trimestre 2006, 637 500 salariés sont intérimaires, soit 34 100 de plus qu’au trimestre précédent (+5,6 %).
En décembre 2005, l'emploi dans l'ensemble des secteurs concurrentiels augmente de 0,1 %.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
À la fin du troisième trimestre 2005, 603 000 salariés sont intérimaires, soit 10 000 de plus qu’au trimestre précédent (+1,8 %) et 25 000 de plus qu’à la fin du troisième trimestre 2004 (+4,3 %).