Le travail du dimanche en 2014
- 22 octobre 2015
- Dares Analyses N°078
En 2014, 4,2 millions de salariés, soit 18 % d’entre eux, ont travaillé au moins un dimanche sur une période d’observation de quatre semaines.
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En 2014, 4,2 millions de salariés, soit 18 % d’entre eux, ont travaillé au moins un dimanche sur une période d’observation de quatre semaines.
Fin 2014, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C) a atteint 5 216 000, son plus haut niveau depuis janvier 1991.
En 2012, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 874 euros et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 157 euros, en augmentation par rapport à 2011.
Le contrat de travail à durée indéterminée (CDI) est la forme largement dominante de la relation de travail entre un employeur et un salarié. Il n’est pas forcément synonyme de stabilité de la relation d’emploi.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
En 2013, 191 100 personnes se sont inscrites à Pôle emploi à la suite d’un licenciement économique, soit 7 % de plus qu’en 2012.
En 2012-2013, la Dares a financé une étude qualitative auprès des principaux acteurs intervenant dans le financement et la mise en œuvre du Droit individuel à la formation (Dif).
En avril 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 10 996 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 176 F, un employé 8 874 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 122 F et un cadre 22 174 F.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
La dépense totale consacrée par la Nation (Etat, collectivités territoriales, entreprises et ménages) à la formation professionnelle est passée de 71 à 111 milliards de Francs entre 1987 et 1991, atteignant 1,7 % du PIB.